Emplois en éducation 2026 : pourquoi novembre et décembre sont les meilleurs mois pour recruter les enseignants formés et motivés

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Le 28 novembre 2025 Par Richard DesRochers
Redonner le goût d’enseigner à ceux qui savent déjà le faire
 
Après quelques années plus difficiles, le secteur de l’éducation retrouve un équilibre. Les nouvelles conventions collectives, les hausses salariales historiques et la stabilisation du réseau public ont redonné confiance aux enseignants du Québec. Mais cette embellie s’accompagne d’un défi de taille : rejoindre rapidement les enseignants qualifiés qui souhaitent revenir dans les rangs avant que la compétition de janvier n’explose. Selon le ministère de l’Éducation du Québec (MEQ, 2025), le réseau compte plus de 107 000 enseignants actifs et près de 8 500 suppléants qualifiés — dont une proportion significative envisage un retour à un poste régulier. C’est une occasion unique pour les écoles, cégeps et centres d’éducation des adultes de recruter du personnel déjà formé, expérimenté et ancré dans la vocation.

Novembre et décembre : la période où tout se décide

Pendant que la majorité des établissements ralentissent leurs démarches, les enseignants, eux, réfléchissent à leur avenir. Les bilans de fin d’année, la fatigue accumulée et le besoin de stabilité professionnelle les amènent à reconsidérer leur trajectoire.
 
C’est précisément durant novembre et décembre que se prennent les grandes décisions : revenir enseigner, changer d’école ou chercher un milieu plus humain.
 
Actions clés
  • Publier vos offres avant la pause des Fêtes : la visibilité est 2,4 fois plus forte qu’en janvier (StatCan 2024).
  • Cibler les enseignants en pause ou en reconversion : 12 % du bassin selon l’ISQ (2025).
  • Intégrer des témoignages : « Pourquoi j’ai choisi de revenir enseigner. »
  • Créer un visuel engageant : « Préparez votre rentrée 2026 dès aujourd’hui. »
Ceux qui recrutent en décembre récoltent la stabilité en septembre.

Soyez fiers de vos nouvelles conditions : un levier d’attraction majeur

Les enseignants du Québec figurent maintenant parmi les mieux rémunérés du secteur public canadien. Selon l’ISQ (2025), le salaire moyen d’un enseignant régulier atteint 83 000 $, avec des congés d’été complets, des régimes de retraite solides et une sécurité d’emploi exceptionnelle.
 
Ce qui était autrefois perçu comme une contrainte est devenu un atout concurrentiel. Les écoles ont désormais tout intérêt à afficher leurs échelles salariales et leurs avantages avec fierté : ce sont des arguments concrets et valorisants pour les candidats formés.
 
Actions clés
  • Mettre en avant vos nouvelles grilles salariales dans vos affichages.
  • Valoriser la stabilité et la reconnaissance professionnelle.
  • Présenter vos programmes d’intégration et de mentorat pour les retours.
  • Mentionner vos avantages collectifs : vacances, assurances, formation continue.
Dans un Québec en mutation, l’enseignement demeure un métier stable, reconnu et essentiel.

Recruter avant janvier : un avantage décisif

Dès le retour des Fêtes, la course aux affichages reprend partout : commissions scolaires, écoles privées, cégeps, CPE… En janvier, le marché sature, les publications se multiplient et la visibilité des offres chute de près de 40 % (ISQ 2024).
 
Recruter tôt, c’est avoir l’embarras du choix : plus de candidatures, des profils mieux ciblés et le temps d’évaluer les compétences avec soin. C’est aussi démontrer un leadership RH moderne, axé sur la planification et la reconnaissance.
 
Actions clés
  • Planifier une campagne « Retour à la vocation » dès la mi-novembre.
  • Relancer vos anciens candidats ou stagiaires prometteurs.
  • Offrir des contrats confirmés pour 2026 avant le congé des Fêtes.
  • Publier sur des sites spécialisés comme emploisenenseignement.com, pour atteindre directement les enseignants actifs.
Recruter avant janvier, c’est enseigner l’art de prévoir.

Préparer 2026 avec une équipe complète et engagée

Un établissement prêt dès février, c’est une direction sereine et une équipe motivée. Chaque poste confirmé avant mars réduit le stress de la rentrée, améliore le climat de travail et augmente la rétention à long terme.
 
Les écoles qui recrutent tôt ne gagnent pas seulement du temps : elles bâtissent une culture de stabilité, d’anticipation et de fierté collective. Et dans un contexte où le sens du métier redevient central, la planification devient un acte de leadership.
 
Actions clés
  • Finaliser vos embauches clés avant la mi-février.
  • Valoriser les enseignants qui s’engagent tôt dans la planification.
  • Intégrer la fidélisation dans votre stratégie RH annuelle.
  • Prévoir un plan d’accueil printanier pour favoriser la cohésion d’équipe.
Une école complète avant mars, c’est une rentrée réussie avant l’heure.
 

Découvrez le réseau Emplois spécialisés en éducation

L’éducation ne repose pas seulement sur les enseignants : elle s’appuie sur tout un écosystème de professionnels essentiels — adjointes, techniciens, secrétaires et gestionnaires.
 
C’est pourquoi Emplois spécialisés, une division de Techno-Communication, offre un réseau de sites dédiés au recrutement scolaire et administratif :
Publier sur Emplois spécialisés, c’est rejoindre plusieurs sites à la fois, sans frais supplémentaires. C’est aussi miser sur un réseau québécois, premier sur le web pour les emplois spécialisés, qui permet de réduire vos budgets de recrutement tout en augmentant la portée et la qualité des candidatures.
 
Nos plateformes contribuent à bâtir des équipes locales, compétentes et fières, tout en renforçant la vitalité économique et humaine des milieux scolaires du Québec.
 
Publiez vos offres dès maintenant — novembre et décembre sont les mois les plus stratégiques pour attirer les enseignants, techniciens et personnels administratifs motivés à revenir pour 2026.
 
Emplois spécialisés — un choix local, efficace et rempli de sens pour l’éducation québécoise.
 

FAQ — Recrutement en éducation 2026

  1. Pourquoi publier mes offres avant janvier ? Parce que la concurrence est trois fois moindre et les candidatures plus qualifiées avant le 15 janvier.
  2. Les enseignants veulent-ils vraiment revenir dans le réseau public ? Oui. Selon l’ISQ (2025), plus de 22 % des suppléants formés souhaitent réintégrer un poste stable.
  3. Quels types d’affichages attirent le plus ? Ceux qui mentionnent les valeurs humaines, le mentorat et la stabilité professionnelle.
  4. Comment attirer les enseignants expérimentés ? Offrez des postes permanents, des projets à long terme et un environnement collaboratif.
  5. Où publier pour atteindre les bons profils ? Sur des sites spécialisés comme emploisenenseignement.com, appuyés par le réseau Emplois spécialisés.
 

Références
  1. Institut de la statistique du Québec (ISQ), Portrait du personnel enseignant 2025.
  2. Ministère de l’Éducation du Québec (MEQ), Rapport annuel sur la main-d’œuvre en éducation, 2025.
  3. Statistique Canada (StatCan), Marché du travail canadien, édition 2024.
  4. Centrale des syndicats du Québec (CSQ), Conventions collectives 2024-2028.
  5. Observatoire du travail et de l’emploi au Québec (Université de Sherbrooke), Enquête 2025 sur la rétention du personnel éducatif.

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